Connaissez-vous Saint Macaire en Gironde?
Saint Macaire est le village dans lequel j'ai posé mes valises voici 13 ans. Entre coteaux et Garonne, il offre ses vieilles pierres au langoureux soleil de Gironde.
C'est donc en mai 1995 , que j'ai débarqué pour la première fois dans cette cité médiévale, ceinte de jolis remparts, d'où l'on domine par endroits le fleuve. Mon hôtesse d'alors m'avait invité à faire quelques pas dans les ruelles , derrière le chateau de Tardes, jusqu'au lavoir. Les roses trémières étaient si belles. Et les pierres grises et ocres semblaient si chargées d'histoires et d'Histoire qu'au bout de quelques pas j'ai su que je voulais vivre ici, et peut-être ne plus jamais en partir.
Saint Macaire m'a adopté si vite et avec tant de douceur , je me suis si facilement senti membre de la cité que j'ai alors passé quelques unes des plus belles années de ma vie. Les fêtes rassemblant une bonne partie des villageois chaque printemps et chaque été provoquaient en moi une émotion à presque me tirer des larmes. Et puis le temps a passé. J'ai changé de vie et de maison. Mais l'attachement à cette vieille cité est toujours là. La vie ici est chaleureuse, les portes s'ouvrent facilement sur l'amitié. C'est tellement plaisant de voir la sienne franchie à l'improviste par tel ou telle venu s'enquérir de vous, comme ça, par habitude et par plaisir.
C'est donc en mai 1995 , que j'ai débarqué pour la première fois dans cette cité médiévale, ceinte de jolis remparts, d'où l'on domine par endroits le fleuve. Mon hôtesse d'alors m'avait invité à faire quelques pas dans les ruelles , derrière le chateau de Tardes, jusqu'au lavoir. Les roses trémières étaient si belles. Et les pierres grises et ocres semblaient si chargées d'histoires et d'Histoire qu'au bout de quelques pas j'ai su que je voulais vivre ici, et peut-être ne plus jamais en partir.
Saint Macaire m'a adopté si vite et avec tant de douceur , je me suis si facilement senti membre de la cité que j'ai alors passé quelques unes des plus belles années de ma vie. Les fêtes rassemblant une bonne partie des villageois chaque printemps et chaque été provoquaient en moi une émotion à presque me tirer des larmes. Et puis le temps a passé. J'ai changé de vie et de maison. Mais l'attachement à cette vieille cité est toujours là. La vie ici est chaleureuse, les portes s'ouvrent facilement sur l'amitié. C'est tellement plaisant de voir la sienne franchie à l'improviste par tel ou telle venu s'enquérir de vous, comme ça, par habitude et par plaisir.